Matériaux & Procédés

La stabilité des revêtements en nanocomposants de carbone dur amorphe dopés au Si et des revêtements DLC non dopés quand ils sont recuits à des températures croissantes, de la RT jusqu’à 700°C, sous atmosphère protectrice (Ar/H2) et oxydante (N2/O2) diffère. La caractérisation vise à comprendre la transformation structurelle en comparant le processus de déshydrogénation et de graphitisation dans les deux types d’atmosphère. 

N°386 - Avril 2008

Traitements d’homogénéisation, d’affinage, de restauration, de déshydrogénation, de détensionnement... autant de traitements thermiques qui ont pour objet d’améliorer et/ou de restaurer les potentialités des aciers.

Les principaux défauts et anomalies connus lors d’un durcissement par trempe après chauffage par induction des aciers et des fontes ont été décrits dans le cadre du dossier consacré à l’induction du dernier numéro. Reste à présenter les facteurs d’influence possibles sur l’apparition de ces défauts.

Au début de l’article paru dans le numéro précédent (n° 384 de Janvier/Février 2008), il a été rappelé que le traitement dit de « trempe et revenu » comportait deux étapes : la trempe (sujet traité dans le numéro 384) et le revenu qui fait l’objet de l’article qui suit.

Les technologies PVD et PCVD sont utilisées industriellement depuis les années 80. Elles ont su évoluer depuis. Etat de l’art de ces technologies dans le domaine des outillages de transformation à froid et à chaud.

Les traitements de surface comme les anodisations ou les conversions chimiques confèrent à l’aluminium et ses alliages des propriétés esthétiques et techniques comme l’adhérence, la dureté... Les différents procédés ont évolué en fonction de contraintes environnementales et techniques.

Mis en œuvre par procédé sous vide en phase vapeur, le revêtement de surfaces Certess est conçu pour améliorer les performances des outils et des moules et éléments de moules permettant l’accès aux outillages dits intelligents. Après développement, la mise au point a été effectuée en utilisant le procédé PEMS.

Le chauffage par induction est aujourd’hui fréquemment utilisé. Petit tour d’horizon des  technologies et applications de ce procédé qui, pour beaucoup, sont déjà employées dans l’aéronautique.

L’induction. Ce mode de chauffage est apparu au début des années 1900 et a su, au fil des années, évoluer. Ainsi, l’induction dans les traitements thermiques est aujourd’hui une technique aussi sûre que des techniques traditionnelles de chauffage. Petit rappel historique.

Une étude sur les paramètres favorisant les tapures lors d’une trempe après chauffage superficielle par induction a été menée par le Cetim afin de répondre aux préoccupations des industriels. Les résultats sont aujourd’hui publiés.