Matériaux & Procédés
La simulation numérique, la thermogravimétrie et l’analyse d’images offrent la possibilité de simuler d’une part l’influence des éléments d’alliage sur la composition des phases et d’autre part l’évolution des profils de fraction massique en carbone obtenus après transfert de carbone à l’interface gaz solide. L’objectif est de maîtriser aussi bien le choix du matériau que le procédé de cémentation à mettre en œuvre pour son traitement.
Le nickel chimique et le nickel chimique PTFE permettent d’obtenir des épaisseurs de dépôts parfaitement uniformes. Le second offre également des propriétés de glissement, d’anti-adhérence ou d’autolubrification à sec.
Le procédé de grenaillage activé par ultrason Stressonic® permet d’introduire des contraintes résiduelles de compression favorables à la tenue en fatigue des pièces mécaniques. Breveté par la société Sonats, ce traitement diffère du grenaillage habituel, entre autres de par la faible quantité de médias utilisée.
La technique de nanostructuration de surface par projection de media développée par la société Winoa permet d’obtenir rapidement des épaisseurs importantes de grains nanométriques, de manière reproductible et maîtrisée. Résultats à l’appui.
Procédé de moulage par injection de poudre, le PIM (powder injection moulding ) combine la métallurgie des poudres et l’injection plastique. Présentation de quelques résultats obtenus avec une poudre d’acier inoxydable austénitique 316L.
Des essais de nitruration ionique ont été réalisés afin d’améliorer la durabilité des outils de coupe pour l’usinage du bois. Après expertise métallurgique d’outils employés dans des entreprises de transformation du bois, une nuance a été retenue pour cette étude : 60SiMoV8. Des mesures de microdureté, des diffractions de rayons X et des microscopies optiques ont permis de mettre en évidence les évolutions métallurgiques apportées par la nitruration. Deux outils nitrurés et un outil trempé-revenu ont été testés lors d’essais de déroulage de MDF (medium density fiberboard).
La mise en propreté de pièces en aciers inoxydables et superalliages résistants à chaud respectent certaines règles, a fortiori lorsqu’il s’agit de turboréacteurs aéronautiques civils.
Selon le matériau d’essai, le choc thermomécanique assisté d’un effet de souffle dû à l’impact d’un jet d’azote à haute pression (jusqu’à 3 000 bar) et basse température (jusqu’à - 150 °C) est susceptible d’activer des mécanismes d’endommagement extrêmement variés. Les paramètres de tir jouent également un rôle considérable en modulant ces mécanismes. Exploration des mécanismes d’endommagement et de traitement de surface des matériaux métalliques et influence des paramètres de tir sur ces mécanismes.
Respecter l’intégrité d’une surface lors de son nettoyage est un objectif que peut atteindre la technologie laser. Différents traitements existent selon la nature des matériaux, les éléments à éliminer en surface et le niveau de propreté requis. Explications.
Encensé aujourd’hui pour ses qualités antimicrobiennes, autrefois pour ses propriétés de conductivité électrique, le cuivre est avant tout l’un des métaux les plus facile à travailler et cela, depuis des siècles.