Matériaux & Procédés
L’amélioration de l’état de surface des pièces produites par fabrication additive pourrait permettre d’améliorer certaines performances en termes de résistance à la fatigue et à la corrosion, ou encore d’écoulement sur les surfaces pour les applications hydrauliques. Le projet After-ALM, porté par l’Institut de Recherche Technologique Matériaux, Métallurgie et Procédés (IRT M2P) a pour objectif de développer des briques technologiques robustes, et indispensables pour le post-traitement de pièces métalliques issues de la fabrication additive.
Comment les hautes températures impactent-elles les matériaux métalliques ? Le choix des matériaux a bien entendu une incidence, mais également les traitements thermiques réalisés qui permettront d’obtenir les structures métallurgiques en vue d’obtenir les caractéristiques mécaniques nécessaires aux conditions de travail. De leur côté, les traitements de surface permettront aux systèmes travaillant à hautes températures dans un environnement agressif, de lutter contre les phénomènes de corrosion catastrophiques et de limiter l’échauffement des produits par le biais de d’écrans thermiques. Nous verrons ici les principaux problèmes rencontrés, comment les prévenir et présenterons un cas concret sur les aubes de turbines en soulignant l’importance du design produit.
La fabrication additive métallique offre de nombreux avantages. Mais les pièces ne sont généralement pas prêtes à l’emploi. Elles nécessitent un parachèvement.
Gérer les retards d’étalonnage après les confinements. Et si c’était une opportunité de voir les choses autrement et de faire un premier pas vers la «smart metrology» ?
Après s'être intéressé à la fragilisation des ouvrages à des températures proches de 0° C dans le numéro 464, nous nous intéresserons ici aux températures cryogéniques ; l'occasion de se pencher sur la structure austénitique des aciers inoxydables, utilisés notamment pour les caissons des méthaniers. La martensite d’écrouissage est-elle préjudiciable à un travail en milieu cryogénique ? Comment peut-on stabiliser l’austénite d’un acier inoxydable ? Des questions auxquelles nous répondrons dans cet article.
Une étude menée dans le cadre du projet ROMA (Reprise mécanique de l’oxydation micro-arcs) pour lequel collabore la société Galvanoplastie Industrielle Toulousaine (GIT) et le Laboratoire Génie de Production (LGP) de Tarbes a permis de mettre en place un essai reproductible pour comparer les propriétés tribologiques de revêtements d’OAD et d’OMA. Explications.
Comment seront conçus les matériaux de demain ? Une question à laquelle il est tentant de répondre : des matériaux virtuels. Fiction ou réalité ? Tout cela existe déjà !
Adoptés par l’industrie, les outils de simulation ont transformé le métier de l’ingénieur pour lui offrir des outils de conception utilisés dans de nombreuses industries. Comment combiner modèles numériques et données ? Comment optimiser cette alliance ?
L’instrument de micro-analyse de l’hydrogène HMA (Hydrogen Micro-Analysis) est capable de localiser et quantifier l’élément hydrogène dans des aciers revêtus de chrome. Une étude menée par Lasalys en partenariat avec l’IRT M2P le démontre.
Le cuivre entre dans l'histoire des hommes durant la période du Néolithique. Il possède des propriétés antimicrobiennes reconnues depuis l'Antiquité, fort utiles pour jouer un rôle barrière dans la propagation des microbes. Quelques résultats d’études mettent en évidence les qualités du cuivre pour ses vertus sanitaires.