Les publications 2010 de la revue Traitements et Matériaux
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N°406-407 - Décembre 2010
Les synergies dans le domaine du traitement des matériaux
L’UITS a eu le plaisir d’être reçu par la direction de Pyc édition, éditeur de la revue Traitements & Matériaux voici quelques temps et Béatrice Becherini, sa rédactrice en chef, nous a fait le plaisir de nous proposer d’écrire l’éditorial de ce numéro. Quels sujets aborder ? La crise ? Ou plutôt la sortie de crise ? L’internationalisation ? Les freins au développement déployés par la communauté européenne ? Autant de sujets que nous avons déjà traités.
Non, plutôt regarder l’apport des traitements des matériaux à l’industrie et au développement durable. Le terme traitement des matériaux englobe tous les métiers dont l’objectif est de fonctionnaliser la surface d’un matériau en utilisant les différentes techniques physiques et chimiques à disposition de la créativité des ingénieurs des entreprises du secteur. Cet apport a été mis en évidence dans l’exposition réalisée au Midest par l’UITS avec le concours de ses partenaires, dont bien évidement l’A3TS, pour le traitement thermique.
Que de progrès réalisés en quarante ans dans tous les secteurs en intégrant les contraintes environnementales et de sécurité qui devraient être appliquées au niveau mondial. La durée de vie et les fréquences d’entretien des pièces mécaniques sont sans commune mesure avec ce qui existait il y a 40 ans. Le traitement des matériaux même s’il comporte parfois des étapes critiques environnementales est un facteur très important du développement durable. Il représente 50 % de la valeur ajoutée fonctionnelle des pièces.
Pour valoriser cette formidable valeur ajoutée nous avons besoin d’organisations professionnelles performantes au service des entreprises, elles doivent être les spécialistes des généralistes de leurs adhérents comme un commissaire au compte ou un avocat le sont pour un DAF. La complexité des questions posées ne peut trouver de réponses univoques. Ainsi nous avons souhaité répartir les tâches entre les différentes organisations pour améliorer le service rendu. Le rapprochement A3TS-UITS dans les différents domaines (formation, enseignement, réunion technique, manifestation…) se concrétisera au travers d’un ambitieux projet commun : « Les états généraux du traitement des matériaux » organisés par la profession dans un cadre international, à Marseille en 2013. L’UITS attache beaucoup d’importance au lien avec les revues du métier et c’est avec plaisir que nous voyons l’évolution de votre revue, évolution qui suit le rapprochement entre organisations.Denis Théry, délégué général de l’UITS (Union des industries de traitements de surfaces
Dossier - Technique -
N°404-405 Octobre 2010
Le carnaval des matériaux
« Le matériau est vivant » aimait à dire, souvent, mon professeur de métallurgie pendant mes études jadis (j’aurais voulu écrire naguère mais…). Je reprends ici son antienne pour souligner que les activités s’y rapportant sont, de ce fait, nécessairement d’importance et en constante mutation. Ce numéro spécial « Matériaux » de la revue Traitements & Matériaux vous le confirmera. Il ne faut donc pas emboîter le pas aux déclinistes de tout poil qui affirment que les matériaux sont moribonds et leur domaine sans grand avenir. Je reprendrai, ici, pour m’y opposer, deux de leurs principaux arguments.
Le premier d’entre eux consiste à dire que la formation aux matériaux dans l’enseignement supérieur se rétrécit comme une peau de chagrin. Preuve en est la baisse d’effectif, ces dernières années, des options « Matériaux » (jusqu’à leur fermeture parfois) de plusieurs grandes écoles françaises, les étudiants étant plus attirés par le secteur financier et bancaire. Dans la formule « Traitement et matériau », « traitement » leur évoquait, en effet, en premier réflexe, le niveau de salaire. Les choses ont, cependant, évolué, ces derniers temps, la crise financière n’y étant probablement pas étrangère. L’évolution résulte aussi d’une prise de conscience à l’échelle européenne de la nécessité d’une relance dans la formation. Yves Rambaud, président de la Fedem (Fédération des minerais, minéraux industriels et métaux non ferreux) l’exprimait, paraphrasant Gabin, lors d’un symposium, à Paris, en juin 2010 par ces mots : « Trois priorités européennes s’imposent : d’abord la formation, ensuite la formation et enfin la formation ». Les effectifs des étudiants en géosciences et dans la filière métallurgie sont maintenant repartis à la hausse, en particulier en France et en Allemagne, après une baisse/stagnation ces quinze dernières années. Les pouvoirs publics semblent bien en considérer le caractère stratégique maintenant.
Un deuxième argument décliniste est d’affirmer que l’essor du numérique fera en sorte que les matériaux dits virtuels supplanteront à terme les matériaux réels pour les activités de recherche et développement. La conséquence en sera que les numériciens remplaceront les spécialistes en matériaux. Cela est évidemment contestable car, au même titre que Picasso affirmait qu’il était le meilleur pour réaliser de faux Picasso, il est certain que seuls des spécialistes en matériaux pourront créer ces faux matériaux que sont les matériaux virtuels. Ces derniers, de toute façon, ne remplaceront jamais les véritables matériaux. L’économique ne pourra prendre le pas sur l’expérience même si numérique et numéraire font bon ménage.
Outre que les deux arguments préalablement cités sont contestables à la base, on peut facilement leur objecter ce qui suit. Tout d’abord, certaines matières s’épuisent, sont l’objet d’embargos spéculatifs, ou ne sont à disposition que de certains pays. Cela ne peut qu’inciter à accroître l’activité pour pallier ces problèmes, exigeant alors des compétences « matériaux » de plus en plus affirmées. Par exemple, le cuivre qui est partout dans l’industrie, souvent irremplaçable (ou alors par l’argent mais à quel prix !) met l’Europe dans une situation assez préoccupante du fait de la petitesse de son industrie associée à ce matériau (50 000 personnes pour 45 GEuros de CA) et de contraintes réglementaires pas toujours cohérentes. Heureusement, le cuivre a le bonheur d’être l’une des rares matières premières recyclable à l’infini sans perte de qualité. Les matériaux en « ium » comme les terres rares soucient aussi l’Europe dont la capacité dépend à 100 % de l’importation (97 % des terres rares sont produites en Chine). Le lithium, qui est un anti-stress en médecine, est plutôt source de stress pour l’industrie, avec le développement des véhicules électriques notamment. Le salut dépendra de l’ingéniosité des spécialistes en matériaux dont le rôle doit donc croître. De plus, le développement, heureusement inéluctable, de nouveaux matériaux et traitements répondant aux exigences écologiques agira dans le même sens d’un regain d’activité « Matériaux » : pourvu, cependant, que les éco-matériaux ne se transforment pas rapidement en écots-matériaux. Reach, que l’on personnifie souvent, ne passera pas à la postérité, tel Eroscrate, parce qu’il a détruit, mais bien parce que ses directives ont insufflé un élan salutaire dans l’utilisation industrielle des matériaux.
Enfin, le sens commun dit que nul ne sait de quoi sera fait l’avenir. On doit donc être porté à croire que des révolutions dans le domaine des matériaux sont encore à se produire et comme la croyance est plus forte que le savoir… De plus, le passé nous y encourage. On peut, en effet, par exemple, être frappé par le fait que, dans la grande littérature de science-fiction qui va du début du siècle dernier à la fin des années cinquante, pas un auteur n’ait imaginé la matière plastique, laquelle a pris tant d’importance de nos jours. Donc l’avenir n’était pas mieux avant, contrairement à ce qu’affirme l’une des plus fameuses « brèves de comptoir », y compris pour les matériaux : on doit en être certain.
J’y reviens pour conclure : le matériau est vivant. On ne peut donc l’abandonner, d’autant plus qu’il trouble les sens : la vue quand il est méta-matériau pour rendre invisible, l’ouïe quand il est « poro-matériau » pour isoler du bruit, le toucher quand il résulte d’une analyse sensorielle poussée pour son utilisation en « design », l’odorat quand il est sous forme d’extrait pour utilisation en parfumerie, par exemple. Et le goût, enfin, me direz-vous ? C’est celui, bien sûr, que nous lui portons. J’espère et suis certain que le numéro qui lui est consacré et que vous avez entre les mains (s’il ne vous en est pas tombé pendant la lecture de cet éditorial) l’accroîtra encore. Bonne lecture.Michel Jeandin, directeur de recherche, centre des matériaux, Mines ParisTech
Dossier - Technique - Profession -
N°403 - Août/Septembre 2010
Midest : 40 ans aux côtés des sous-traitants
Le numéro un mondial des salons de la sous-traitance industrielle fêtera, du 2 au 5 novembre prochains à Paris Nord Villepinte, sa quarantième édition. Depuis sa création à Nancy en 1971, ce salon a su évoluer en s’adaptant aux profonds changements survenus dans le secteur, et s’imposer ainsi comme le rendez-vous annuel incontournable de ses acteurs et de leurs savoir-faire.
En 40 ans, le Midest a connu bien des évolutions. Durant ses premières années d’existence, il a effectué un véritable tour de France, voire d’Europe, des régions mécaniciennes, posant ses valises dans des villes aussi diverses que Nancy, Nantes, Toulouse, Lausanne ou Bruxelles. Mais très vite, seules Lyon et Paris disposeront des infrastructures nécessaires à son accueil, avant que son développement international ne l’ancre définitivement à Villepinte. En 2010, ce seront plus de 50 000 m2 de surface d’exposition qui s’offriront aux visiteurs.
Durant ces années, Midest a vu les métiers de la sous-traitance évoluer radicalement. La multiplication des technologies a engendré chaque année l’arrivée de nouveaux spécialistes dont les compétences venaient compléter le vaste panel de celles déjà représentées. En 2010, ce seront ainsi 1 750 exposants venus de 37 pays qui s’y retrouveront.
Toutes les professions seront représentées, de la transformation des métaux à celle des plastiques, caoutchouc et composites, en passant par l’électronique et l’électricité, les microtechniques, les traitements de surfaces et finitions, les fixations industrielles et les services à l’industrie. Cette offre complète des savoir-faire permettra aux professionnels qui visiteront le salon de trouver des solutions originales adaptées à leurs besoins dans une ambiance conviviale et un cadre moins formel, plus détendu que celui des entreprises. Les contacts se noueront également entre exposants au point que l’on discerne mal parfois qui est le sous-traitant et qui le donneur d’ordres.
Cette édition 2010 sera placée sous le signe de la reprise. Nombre d’entreprises, éprouvées par deux années difficiles, y viendront se repositionner, chercher des contacts et des outils qui les aideront à mieux s’adapter à un monde en pleine évolution. Pour beaucoup, le salon permettra de redéfinir leurs partenariats, afin de garantir aux donneurs d’ordres une fiabilité accrue de leurs prestataires et aux sous-traitants un vrai respect des engagements et une meilleure visibilité.
échanger, s’informer, partager. Dans cette optique, en plus des festivités organisées autour de son quarantième anniversaire, le Midest mettra à l’honneur le ferroviaire, secteur moteur de l’industrie et de la sous-traitance, à travers notamment une table- ronde spéciale regroupant les acteurs majeurs du secteur. Plus d’une centaine de conférences gratuites, courtes et exhaustives seront également proposées et dresseront un tableau des dernières avancées techniques, stratégiques ou économiques de la sous-traitance. La remise des Trophées 2010 mettra en valeur quelques-unes des réalisations exceptionnelles de nos entreprises. Animés par des experts des centres techniques, les Pôles technologiques répondront aux questions des professionnels sur les techniques et les procédés innovants. Et ils pourront prolonger leurs actions tout au long de l’année grâce au site Internet www.midest.com, véritable répertoire international complet des principaux sous-traitants et précieuse source d’informations.
Après 40 années d’existence, le Midest constitue plus que jamais un miroir qui nous renvoie le visage de ce que sont nos industries. Il n’appartient qu’à nous, sous-traitants et donneurs d’ordres, de ne pas déformer cette image en prenant conscience de notre valeur et nos complémentarités, de ce que nous sommes et ce que nous représentons.Jean-Claude Monier, président de la société Thermi-Lyon et président du salon Midest 2010.
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N°402 - Mai/Juin 2010
Un grand merci à tous nos élus !
Mercredi matin, nous prenons la route pour rencontrer Jean-Marc, directeur de la société TechniProtec Metal et visiter son nouvel atelier de traitement de surface. à peine arrivés, il nous entraîne dans son atelier tout neuf, avec une fierté non dissimulée. Pour une de ses dernières aventures industrielles, notre compatriote originaire de Moselle n’est pas peu fier de nous présenter toutes ses qualifications aéronautiques, du groupe Zodiac à Thalès en passant par Airbus, et d’ajouter « nous ne sommes pas ISO ». Notre visite se termine par le nouvel atelier de peinture. Les 2 000 m2 d’atelier ouverts en 2008 disposent d’une réserve pour augmenter les capacités de traitement. L’équipe de production est majoritairement féminine, encadrée par un responsable qualité et un responsable de production. Elle est d’ores et déjà prête à accueillir les demandes de ses futurs clients européens ainsi que leurs exigences habituelles de qualité. Nous nous trouvons à deux heures d’avion de Paris et une heure de voiture, dans la zone industrielle de Sousse, entre Sfax et Tunis, région dans laquelle un grand donneur d’ordres aéronautique est attendu pour y implanter une usine d’assemblage d’environ 200 000 m2. Jean-Marc vient de démarrer avec succès ses deux lignes de traitement de surface. Après une longue expérience en France, il s’est impliqué dans ce nouveau défi avec énergie, constatant de surcroît que la majorité des traitements qu’il réalise désormais ici, avec une installation des plus modernes qui intègre une ventilation performante et le retraitement au meilleur niveau des effluents, ne sont désormais plus possible en France. La Tunisie se prépare à accueillir de nombreuses industries. Alors, à tous nos élus, dont la légitime préoccupation est leur réélection et qui pour cela doivent régulièrement trouver un thème porteur, avec aujourd’hui le thème de l’environnement, je souhaite vivement les remercier, de ne pas avoir immédiatement donné suite au projet de loi sur la taxe carbone. Cette pause permet à nos industries de respirer… un air encore suffisamment pur… en ces périodes économiques très difficiles et probablement durables pour encore quelques années.
Thierry Vannier, directeur général, Fischer instrumentation électronique
Dossier - Technique -
N°401 - Mars/Avril 2010
Le prix au détriment de la qualité
Dans un monde habituellement dicté par la quête du profit, bien des choix peuvent actuellement nous surprendre, allant à l’encontre de toute notion de rentabilité et de bon sens. Bien souvent aujourd’hui, dans un projet d’investissement de biens d’équipement, le seul coût d’achat a supplanté tous les autres critères dans la décision finale. Pourtant bien d’autres facteurs (consommation, maintenance, niveau de performance) participent au coût global d’exploitation. Il devient de plus en plus difficile de justifier des écarts de prix, en dépit d’avantages technico-économiques majeurs, associés à un service performant et personnalisé. En dépit de cahiers des charges initiaux détaillés, combien de sociétés se sont laissées convaincre par les politiques tarifaires agressives – voir « low cost » - de certains acteurs de nos marchés, visant à proposer des équipements ne répondant pas à leurs attentes au final ? Plus grave, en tant que fournisseur de biens d’équipement, nous souffrons malheureusement de cette course au discount non seulement en aval chez nos clients, mais également en amont chez nos fournisseurs. Depuis quelques années et bien avant la crise, nous notons que la qualité des équipements que nous assemblons sur nos fours se dégrade. Les nouveaux modèles sont rarement aussi performants que les précédents. Nous espérons cependant que ce phénomène s’atténuera à la reprise. Il nous amène toutefois à nous demander si la notion de rapport qualité-prix, en tant qu’échelle des vertus d’un produit en fonction de son prix d’achat, a encore lieu d’être ? Comment parler de développement durable ou de lean management lorsque seul importe le montant d’un investissement sans autre analyse plus poussée de rentabilité à moyen et long terme ? En tant que constructeur d’équipement responsable, résolument engagé sur le terrain de la qualité et de l’environnement, nous luttons quotidiennement pour ne pas participer à la dynamique générale qui tend à tirer nos industries occidentales vers la médiocrité. Supprimer le superflu pour ne garder que l’essentiel, concevoir un équipement dans l’optique de l’utilisateur, écouter nos clients pour leur proposer la solution technique la mieux adaptée au juste coût, ne serait-ce pas là l’essence même du lean management ?
Ghislain Perez, directeur général des Fours Industriels BMI
Nicolas Weiss, responsable marketing et communicationDossier - Technique - Profession -
N°400 - Janvier/Février 2010
Des traitements thermiques à l’ingénierie des matériaux
Vous tenez entre les mains le numéro 400 de la revue Traitement thermique, créée en 1963. à l’origine, dans un contexte de très fort développement industriel, votre revue a participé à l’élévation des compétences de praticiens œuvrant principalement par savoir-faire et confrontés à la mise à disposition de nouveaux matériaux et procédés.
En 47 ans, beaucoup d’avancées ont été obtenues et les connaissances ont été formalisées et traduites en grande partie sous la forme d’algorithmes de pilotage et de régulation, avec la mise à disposition d’équipements performants et automatisés. La productivité a fortement augmenté, conduisant à une diminution des effectifs de la profession. Les travaux des centres de recherche se sont naturellement faits plus rares. à l’origine très séparés, les traitements thermiques et ceux de surface se sont alors rapprochés lorsque la problématique s’est orientée vers la recherche de solutions matériaux- traitements performantes, plutôt que vers la connaissance même des mécanismes physiques ou chimiques de ces traitements. Pour cette raison, la revue Traitement thermique s’est adjoint la mention « et de l’ingénierie des surfaces » dès 2001, précédant de quelques années l’ATTT, devenue l’A3TS.
Face aux évolutions des marchés industriels, des motivations des acteurs et des technologies, l’évidence d’un élargissement de la ligne éditoriale de cette revue nous est apparue. Nous devons embrasser un champ beaucoup plus large que celui des seuls traitements thermiques et de surface, pour se positionner dans la perspective de l’ingénierie des matériaux, définie comme la connaissance des matériaux (avec ou sans traitement), leurs caractérisations, leurs procédés de mise en œuvre et de traitements.
Le nouveau titre Traitements & Matériaux reflète ces objectifs tout en laissant la priorité aux traitements thermiques. Il s’agit de les inscrire, avec les traitements de surface, comme un des moyens essentiels de valorisation des matériaux métalliques et d’éclairer les solutions en concurrence parmi certains couples matériaux-traitements. La nouvelle revue Traitements & Matériaux offre ainsi aux professionnels des industries mécaniques - bureaux d’études et d’ingénierie, services de production, centres universitaires et techniques - une opportunité d’informations actualisées, rigoureuses et complètes. Revue industrielle de filière, elle constitue aussi un moyen efficace de promotion des technologies pour les entreprises concernées.
Cet élargissement éditorial s’accompagne d’une innovation majeure : la mise en place d’un site internet s’appuyant sur le potentiel d’expertises rédactionnelles et d’archives de votre revue, www.traitementsetmatériaux.fr en ligne courant avril. En plus de la version papier, Traitements & Matériaux devient une plateforme numérique d’actualité, un centre de ressources métiers, un lieu de services à l’information (bases de données formation, produits et services, librairie multimédia...), pour constituer le premier carrefour numérique de partage de connaissances et d’expériences entre professionnels. Cet espace, ouvert avant la fin du premier semestre 2010, est aussi fait pour accueillir vos contributions techniques, répondre à vos besoins, relater vos expériences et vos innovations.Claude Leroux, Conseiller de la Rédaction
Jean-Christophe Raveau, Directeur de la publicationDossier