Matériaux & Procédés

La supervision et la gestion d’un atelier répond à certaines exigences évolutives. Un progiciel modulaire permet de s’adapter aux spécificités de gestion de production de chaque atelier. 

Le revenu de détente peut être utilisé pour la pignonnerie automobile. Il avise à minimiser les risques de fragilité des aciers traités.

Les donneurs d’ordres aujourd’hui exigent souvent des critères de qualité poussés. Les machines de nettoyage permettent d’y répondre.

La mesure de l’alcalinité ou de l’acidité des effluents gazeux dans une conduite ou dans l’air des ateliers est obligatoire quelle que soit la chaîne de traitements de surface. Une procédure-conseil simplifiée a été mise en œuvre par le Cetiat dans le cadre d’une action menée par le Cetim. Celle-ci a pour objectif de simplifier et rationnaliser les contrôles que les industriels doivent effectuer pour définir leurs bilans massiques « atmosphériques ». 

Les conditions d’exploitation des moules de fonderie conduisent inévitablement à des dégradations de l’outillage. Des techniques de revêtement de surface innovantes existent pour retarder leur dégradation. 

Procédé de revêtement propre, la projection thermique est une solution souvent utilisée pour remplacer le chrome dur. 

Les traitements de surface pour les pièces métalliques aéronautiques doivent répondre à différentes contraintes techniques et réglementaires comme le remplacement du chrome hexavalent. La technologie sol-gel permet d’obtenir des propriétés mécaniques, physiques et chimiques ajustables afin d’assurer au système de protection à la fois l’adhérence sur le substrat, l’adhérence des peintures et un effet de barrière contre l’agression des électrolytes corrosifs.

Un procédé de dépôt ZnNi répondant aux exigences de l’aéronautique est développé en vue de la substitution du cadmiage électrolytique. Pour le rendre compatible avec les contraintes du secteur, des recherches amonts sont réalisées en parallèle des investigations industrielles. Le but est de tendre vers une maîtrise complète du procédé et pour cela, de rechercher quels sont les paramètres opératoires qui conditionnent les caractéristiques des dépôts afin d’adapter celles-ci à celles imposées par les exigences aéronautiques.

Des études menées ces dernières années, ont permis de fiabiliser grandement la phase chauffage du traitement. La partie refroidissement n’a bénéficié que de peu de recherches spécifiques, si bien qu’elle apparaît comme la source d’un des principaux défauts de la pièce traitée : les tapures. Mais, la maîtrise du refroidissement peut réduire ou supprimer ce défaut.

L’élaboration des couches dures obtenues par procédé PVD et PACVD est confrontée à de nombreuses difficultés techniques essentiellement liées à la finesse des structures étudiées. Si quelques outils spécifiques ont été mis au point pour mesurer leur épaisseur, leur dureté, le module de Young, évaluer leur adhérence, la plupart de ces essais s’avèrent largement insuffisants pour identifier la couche idéale pour une application donnée. Outre l’existence de nombreux pièges autour d’essais élémentaires pouvant conduire facilement à des conclusions erronées voire des aberrations, les sollicitations superficielles combinent une grande quantité de paramètres impossibles, à appréhender séparément. Ils sont le plus souvent mis en évidence par une augmentation progressive de la complexité des essais, pour plus de réalisme, mais au détriment du coût d’essai et de la qualité de leur exploitation.